En Mésopotamie, les proverbes ne donnent pas toujours le beau rôle au chien : il est bête et flatteur.
« Le chien du potier, quand il s’est mis dans le four, c’est contre le potier qu’il aboie ».
« Lorsque tu t’es échappé, tu es un auroch sauvage. Une fois qu’on t’a attrapé, tu te fais flatteur comme un chien ».
« Une mangouste, (fuyant) devant un chien, [entra] dans une conduite d’égout. Et le chien bondissant, [aboya] à l’entrée de la conduite. Mais il laissa la mangouste s’échapper (de l’autre côté) de la conduite ».
⇒ Le chat